La naissance de gladyss

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il y a 3 ans

( partage de mes histoires publié sur abk )

Chapitre 1 : La naissance de Gladys

Je m'appelle Glade et l'histoire que je vais vous raconter n'est autre que ma propre chute aux enfers causée par une mal chance maladive. Un soir d'hiver glacial de Speaburg, ville où ma voiture décida de me lâcher, lors d'un temps que je qualifierait de "temps de chien", je me suis précipité à l'abri dans un bar à hôtesses, seule bâtisse à des kilomètres à la ronde. Curieux me direz-vous, mais je n'avais pas le cœur à y penser, ma vie étant une galère sans fin, ma fiancée venait de me plaquer à cause de mes fantasmes délirants, mon patron qui n'était autre que mon beau père me licencia sans indemnité et n'ayant plus de famille, je n'avais nulle part où aller. Alors je pris ma voiture pourrie jusqu'au pneu, et hop me voilà dans ce bar hôtel et avec ses putes.

Une fois assis au coin de la salle dans une dépendance, il ne fallu pas longtemps pour qu'une hôtesse du type asiatique ne s'approche de moi et ne me parle. Elle me raconta qu'elle était là pour assouvir tous mes fantasmes et ferma un rideau qui nous laissa seuls. Elle ouvrit un placard qui devait être un mini bar, et me proposa à boire. Je lui dit que j'avais juste assez pour payer ma chambre pour la nuit, mais elle me dit de ne pas m'inquiéter car il était rare pour elle d'avoir à faire à de jeune gens aussi mignons, et que ça lui faisait plaisir.

Alors je me mis à boire pendant qu'elle me questionna de différentes façons. Questions que tout d'abord je pris pour de la curiosité, mais n'arrivant pas à lui mentir, je pense aujourd'hui que j'étais drogué. Et les questions s'enchaînaient sur mes penchants sexuels. Puis je me mis à lui raconter que j'étais AB, DL et sissy, mais en lui expliquant dans les moindres détails l'implication que cela avait eu sur ma vie. Je fus tout de même surprit de sa réaction : ça avait l'air de lui faire plaisir que je sois sans attaches et mes fantasmes pour la première fois de ma vie n'effrayaient pas, mais intriguaient mon interlocutrice. Mais trop surpris et trop heureux que l'on m'écoute, je continuais à lui répondre sans y voir le mal. Puis d'un coup elle s'arrêta et me proposa un cocktail maison et à manger. Ce que j'acceptais évidemment, mais quelques minutes après le repas, mes sens me quittèrent peu à peu et je m'écroulais net.

Pendant un instant, je crus avoir rêvé et être toujours près de ma fiancé. Mais la réalité dépassait la fiction : mes mains et pieds ainsi que mon cou étaient entravés par des chaines, ma bouche semblait engourdie et il ne pouvait en sortir un mot. J'étais nu et ne sentais plus mon corps. Je compris que j'étais tombé dans un piège, mais quel but avait-il, ça je n'allais pas tarder à le découvrir.

La fille du bar entra dans la pièce et me demanda si je me souvenais d'elle. Je fis signe que oui, et elle me raconta que comme elle me l'avait précisé, elle allait assouvir mes fantasmes et me métamorphoser en poupée afin d'être l'un de ses jouets de jouissance pour les habitués de son bar. Voyant que je pleurais, elle me dit qu'elle ne me quitterait pas. Tous en me rassurant, elle fit appel à deux homme énorme qui me détachèrent et me mirent dans une poussette à ma taille où je fut sanglé.

Pendant ce temps, elle m'expliquait, comme elle aimait appeler la chose, les modalités de mon contrat en me montrant le squelette d'un mannequin, et m'éclairait sur le fait que mon corps était indolore et inutilisable pour le moment, car elle m'injecterait chaque jour une dose de paralisant dans la moelle osseuse, afin de n'avoir aucun risque que je ne m'échappe avant qu'elle ne finisse son œuvre. Car après, disait-elle, je n'aurais plus envie de partir. Puis la poussette se mit à rouler et entrait dans une salle chirurgicale. Puis je sentis une piqure derrière l'oreille, suivie d'un "bonne nuit mon bébé...".

Au réveil, deux "infirmières" (elles en avaient la tenue) s'affairaient au dessus de moi. Puis ma propriétaire entra et me sourit, puis commença à m'expliquer que maintenant mon premier vœu et un peu de mon troisième étaient exaucés. Puis elle me montra une couche sale en me disant que c'était celle de cette nuit et que maintenant me retenir serait impossible (en effet, une certaine épaisseur toute chaude collait la peau de mon entre jambe), et que mon petit oiseau inutile d'après elle avait été supprimé, et que mes seins encore petit (90b) seraient encore augmentés pendant la nuit. Mes poils avaient été chimiquement annihilés, et quand je dis poils je parle aussi des cheveux, sourcils. De plus, mon visage avait subit deux trois coup de chirurgie esthétique, ce qu'elles ne me montreraient que demain, me dit-elle avec un large sourire machiavélique !

Le lendemain matin, je fus réveillé par le redressement de la table où mon corps gisait toujours entravé par ces maudites sangles. Peu après, un miroir voilé fut mis en place face a moi. Elle entra dans la pièce, et me dit qu'aujourd'hui était un grand jour, car elle allait me finaliser. Mais qu'avant elle devait me montrer pourquoi fuir serait inutile, et que si l'envie m'était toujours dans la tête, je ne devais pas oublier que je n'avais plus de tendons aux pieds. Alors à moins que je ne me déplace aussi rapidement à quatre pattes que debout, ce serait chose vaine. Elle réfléchit, puis me dit "de toutes façons, je vais te dresser comme une chienne à partir de la semaine prochaine

Ça y était, le rideau tomba mais à la vue de ma renaissance, je tombais dans les pommes aussitôt.

Je n'en croyait pas mes yeux, enfin, le terme n'est pas vraiment recommandé en cet instant pour moi. À cet instant, elle prit la parole et me dit que mes seins faisait 95c,que mes fesses étaient galbées, que ma taille tiendrai dans un 34, que mes paupières avaient été équipées d'un système identique aux poupées qui ferme les yeux quand on les allonges, que ma bouche formerait ce rond pour toujours et que, cerise sur le gâteau, mon corps allait être fusionné avec une sorte de latex qui remplacerait ma peau afin que son œuvre devienne parfaite.

Au moment où tout cela se terminait, les deux hommes refirent leur apparition pour m'emmener. L'un d'eux préparait la poussette pendant que l'autre me mit des lentilles épaisse d'au moins un demie centimètre, afin disait elle de protéger mes yeux lors de la fusion. Puis je fus sanglé et emmené dans une pièce où une machine en forme de capsule ronde était érigée. Au centre, les deux hommes m'y installèrent en croix puis la coquille se referma sur moi et dans un bruit effroyable, un tuyau pénétra ma bouche ainsi que mon vagin artificiel, mon anus, mes narines, et un courant d'air chaud s'y engouffra au même moment. Je vis floue à travers les lentilles, et un liquide rouge remplit la machine, puis un bleu et je me sentis bruler de tout mon être, qui ne résista pas. Je cru même vouloir mourir pour que cela s'arrête. Mais d'un coup la capsule s'ouvrit au dessus d'une baignoire énorme remplie d'un produit qui sentait la fraise. Plus tard, on me dit que ce serait mon odeur pour toujours, et que je serais une bonne chienne obéissante.

À mon réveil, je fus félicitée de m'en être aussi bien sortie, car j'étais le premier à avoir supporté le traitement jusqu'au bout. Elle était là, debout à coté de moi, me tenant par une laisse reliée à un collier minerve, empêchant tous mouvements de la tête. Je portait juste une couche d'une épaisseur anormale, écartant ainsi mon entre jambe à son maximum, ma bouche bloquée par un bâillon tétine ne permettait aucune syllabe. Même si je ne sentais plus cet engourdissement, mes dent m'avait été totalement enlevées, ce qui avait pour effet de me faire saliver et baver comme une chienne ou un gosse. Ma peau ayant gardé son bronzage d'origine présentait des reflet de latex lisse et doux sur tout le corps, y compris mes ongles, mes narines internes ainsi que mon anus et vagin. Mais il était entièrement cousu de haut en bas et seul mon nouveau clitoris qui, disait-elle, serait fonctionnel bientôt afin de s'amuser avec moi.

Elle s'arrêta puis reprit la parole et me dit que mon nouveau prénom était Gladys, et que j'étais à présent sa chienne préférée. Donc elle allait commencer mon dressage dès maintenant. Puis en tirant sur la laisse, elle me dirigea vers une autres pièce où un tube en métal composé de deux bracelet en vieux cuir usé entouré de métal bloqua mes mains près du sol et un collier de même matière bloqua mon cou le plus loin possible de mes mains, ce qui avait pour effet de m'étrangler.

Elle me dit qu'elle allait commencer par me conditionner afin de faciliter le dressage, et que bientôt je sucerai et me prendrait des bites ou godes avec plaisirs dans le cul. Et elle insistait bien sur le fait que maintenant je serai louée à l'heure à toutes sortes de clients, et si l'un d'eux lui disait que je n'étais pas une chienne gentille, elle me ferait subir à chaque fois de nouveau ce quelle s'apprêtait à me faire subir, et que si malgré cela je persistait à jouer la méchante toutou elle me ferait piquer et bruler comme une vulgaire bête inutilisable.

Chapitre 2 : Conditionnement

Vingtième journée à quatre pattes entravée ainsi, d'après elle. Mais ce n'est pas encore le moment de changer de salle me disait-elle. Je n'étais soit disant pas encore tous à fait prête. Elle le me disait, sans aucune pitié de sa part face à mes gémissements étouffés et pleurs incessants. Pourtant tous les jours elle me frappait ou m'enculait avec toutes sortes d'objets. Je ne hurlais même plus car la fatigue l'emportait. Mon moral était détruit, on me pissait dans la bouche afin que je boive et on ne me donnait qu'une sorte de bouillie immonde en guise de repas une fois par jour. On ne me changeait de couche qu'une fois tous les deux jours, et je vous laisse deviner l'odeur écœurante de la fraise mélangée aux odeurs putrides de mes langes fermentés. Je vous le jure, on ne peut s'y habituer. Des CD à but h y p n o t i q u e passaient en boucle quand j'étais seul dans le noir, et elle finit par m'expliquer que cela finirait par me laver le cerveau pour que je me comporte comme une chienne ou un bébé ou en grosse salope, selon les mots qu'elle emploierait, et surtout selon les clients ou clientes qui me loueraient. Mais elle insistait sur le fait que quel que soit mon rôle, à tout moment intérieurement la honte me tiendrait compagnie et la peur qu'on me reconnaisse malgré mes changement me rendrait totalement paranoïaque et je que serais toujours conscient de ce que je ferais sans en avoir le moindre contrôle.

Plusieurs semaines plus tard, ma nouvelle maitresse me fit sortir de la salle et me fit prendre une douche. Elle me murmurait une phrase à l'oreille, et d'un coup, malgré mon corps endolori par la position et coups que j'avais reçu pendant plusieurs semaines, l'h y p n o s e exerça sur moi pendant tout ce temps eu un effet immédiat. Je me sentit heureux et au fond de moi j'avais envie d'être traité comme un bébé et cajolé. Elle me porta dans ses bras, étant petit et léger maintenant, elle n'eut aucun mal. Elle qui était grande et fine, non sans une certaine poigne, me hissa sur une table matelassée afin de m'enfiler mes épais langes serrés fermement, puis elle me passa un body marin rose et blanc avec sur le devant, un gros ruban rose, une perruque formée de deux jolies nattes tressées, un bonnet pompon par dessus et elle me mit dans un parc avec plein de jouets et nounours géants. La pièce était composée d'une douche, une table a langer, une armoire, un parc et un lit de bébé géant. Et elle me dit qu'elle allait me cajoler et me faire régresser au stade primaire afin que j'apprenne à aimer de me comporter comme une véritable poupée, et que ce jeu soit considéré comme une récompense par mon subconscient quand j'obéirais au doigt et a l'œil de ma maitresse adorée.

Chapitre 3 : La question

La porte s'ouvrit et elle entra pour ce mettre au dessus de ma couche me couvrant ainsi de toute son ombre puis elle me dit :" aujourd'hui est un grand jour car maintenant que tes phantasmes ont été réalisés je vais te laisser un choix que tu devras choisir avec soins car aucun retour ne te sera possible. Vois tu je t'ai menti car je connais bien ton beau père qui ta poussée droit vers moi pour enfin régler sa dette ! Sa fille n'était qu'un prétexte complice pour que ta tristesse ne devienne assez grande et que mon antre ne s'ouvre à tes yeux car ici tous n'est qu'illusion et tu avais été choisi avec soins par mes garde (rire diabolique) ." Maintenant hoche la tête pour t'exprimer par oui ou non, c'est comprit ? Me dit elle .

Je répondis d'un oui puis elle commença :

-aimes tu être un BÉBÉ ?

  • oui fut ma réponse énergique de la tête . -d'accord alors voici ma question, et n'oublies pas ton choix ne sera que définitif !
  • veux tu que j'enlève ta seconde peaux de poupée sexuelle soumise tout en redonnant à ton visage un physique de nourrisson . Être vendu à un couple ne pouvant avoir d'enfant en tant que bébé. Saches qu'ils seront plein d'amour mais tu ne pourras jamais être à nouveau indépendante ! Ta vie sera une prison de bonheur asexué ne pouvant te mouvoir ou te faire comprendre . Ou alors je peux faire de toi une femme une vraie qui sera incontinente mais attirante . La honte sera ton quotidien. Les hommes que je mettrais sur ton chemin seront systématiquement méchant et humiliant avec toi . Bref je ne serai jamais bien loin et vu que tu ne m'auras rien fait gagner tu me seras redevable pour mon plus grand plaisir mais tu pourra au moins être indépendante ! Je te laisse y méditer dans ton joli lit mon bébé, je reviendrai demain alors fait ton choix. Ha oui j'oubliais il y aussi la possibilité de rester tel quel mais je ne pense pas que ce sera ton choix ." dit-elle pour finir dans un rire diabolique en refermant la porte.

Chapitre 4 : Le choix est votre pouvoir

Le démon me possédait, sa magie noire pouvait faire de moi tous et rien mais elle me laissait le choix de ma future t o r t u r e ! Devais-je choisir la douceur et laisser mon esprit régresser comme je l'avais tant rêvé ? Pourtant j'avais peur de le regretter car avant je pouvais reprendre mon indépendance et jouir de tous les avantages sans les inconvénients. Ou reprendre un semblant de vie avec le sexe opposé seule au monde et méprisée des hommes et vu comme une pissouse crasseuse.

Peut être devrais-je rester ici, au moins mon humiliation sera privée mais je ne veux pas retourner dans cette pièce des t o r t u r e s ni être touchée par des hommes me v i o l a n t sans vergogne. En tant que bébé je suis soulagée de mes douleurs et peut-être je ne serai plus jamais seule et aimée enfin.

Comme les précédent, un texte délicieusement pervers. Merci à vous
La fin de cette très belle histoire laisse le lecteur dans ses choix de fantasmes. Bien pensé !
Belle histoire une fois de plus pleine de vices .... il serait bien ...une suite .... merci pour le partage
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